Sublime

Near the end of my stint as an entrepreneur, my friend Henri Verdier (now the chief information officer of the French government) and I wrote a book together: L’Âge de la multitude[177]. We designed it as both a testimonial of what the startup world was all about and a wake-up call for the old world of elected officials, civil servants, and

Toute sa jeunesse il avait contemplé les tranches des livres alignées comme des touches de piano dans sa bibliothèque, complétée au fil du temps par ses nouvelles lectures. Cette année il avait brusquement réalisé que l’horizon de ces livres côte à côte ressemblait à un cimetière d’immortels, rempli de stèles plus ou moins épaisses sur lesquelles

L’histoire d’un peuple et d’une nation se résume à celle de ses individualités d’exception.

La nécessité d’une mutation complète des êtres, des mœurs, de l’amour appartient à sa pensée la plus intime ; mais elle coïncide aussi avec les propos les plus idéalistes de quelques communards de Londres.

Les grands auteurs sont des êtres humains comme les autres. On peut les prendre sans crainte pour compagnons et leur causer librement, ainsi que Montaigne le faisait avec les penseurs de l’Antiquité.

Prônant un même esprit collaboratif, cette nouvelle génération de plateformes en ligne de mise en relation entre clients et particuliers prestataires de services a été rassemblée sous la bannière d’« économie du partage » (sharing economy), un concept attribué au professeur de droit de Harvard Lawrence Lessig, qui l’aurait employé pour la première

Égalité Le futur appartient à qui possède les data

Il est d’autant plus important de souligner la nécessité d’une réforme de la connaissance qu’aujourd’hui, en France, le problème de l’éducation et celui de la recherche sont réduits à des termes quantitatifs : « davantage de crédits », « davantage d’enseignants », « davantage d’informatique », etc. On masque par là la difficulté majeure que révèle

il est le premier théoricien de la séparation des pouvoirs politique et religieux et le premier penseur moderne de nos démocraties libérales. Mais là où il me semble encore plus moderne que nous, c’est qu’il a parfaitement perçu, alors qu’elles n’existaient pas encore, les limites de nos démocraties :