Sublime

Stories are how we keep our collective history alive.

conjuguant dans une même dialectique individualité et communauté. Comme dans la plupart de ses autres livres de l’époque, il y clame son aversion pour le mercantilisme et la violence de la civilisation urbaine contemporaine. L’oeuvre n’est pas sans résonnances avec celle d’un Herman Hesse ou d’un Jean Giono et lui vaut le Prix Nobel de littérature

Eduard pensa che è un po’ troppo facile vivere nel comfort e nella libertà, e voler tenere gli altri al riparo da tutto ciò per il bene della loro anima, però è contento di incontrare un intellettuale francese che non ha perso la testa per Gorbačëv ed è lusingato che Vitez conosca i suoi libri, e siccome non sa che pesci pigliare si confida con lui

his native Lithuanian shtetl, Ponievezh, was among the many Jewish towns forcibly evacuated during the First World War, catapulting him and hundreds of thousands of other Jewish refugees into modernity.

« Ça ne peut pas durer très longtemps. » Mais moi, j’avais toujours en mémoire la conversation que j’avais eue à Leningrad avec mon ancien éditeur, au cours de mon bref voyage en Russie. Il m’avait raconté quel homme riche il était, combien de beaux tableaux il possédait, et je lui avais demandé pourquoi donc il n’était pas parti comme tant d’autre

« Montaigne. Je connais. – Prenez-le également », dit Tarras que l’émotion forçait d’ouvrir la bouche. Entre la vingtaine de livres qu’il avait emportés avec lui, pour tenter de combattre l’horreur, s’il avait dû en choisir un, ç’aurait été le Montaigne. «

A voice that speaks, a woman’s voice that speaks, a voice that speaks stories of life and death, has the power to give life.

Peu après, Alexandre Soljenitsyne publia L’Archipel du goulag, dont nous avons beaucoup parlé dans les chapitres précédents. Comme nous le disions (et cela vaut la peine de le répéter), ce livre a réduit à néant la crédibilité de la morale du communisme, d’abord en Occident, puis au cœur même du système soviétique.