Sublime

Mitterrand refusa jusqu’au bout d’arracher le corset du système monétaire européen qui attachait notre monnaie au Deutsche Mark. Un système de changes fixes, dont les ajustements âprement négociés permettaient à chaque fois aux Allemands de laisser un peu d’air à la monnaie française pour que son industrie ne coule pas, mais jamais assez pour qu’el

Un Voltaire prônera ainsi une religion naturelle se limitant à la croyance en l’Etre suprême et en une éthique universelle inspirée des enseignements du Christ.

On pourrait même soutenir que l’inculcation de la responsabilité est l’objectif principal de la société. Mais quelque chose a mal tourné. Nous avons commis une erreur. Voire une série d’erreurs. Nous avons passé trop de temps, par exemple (une grande partie de ces cinquante dernières années), à réclamer des droits, sans, en retour, demander suffisa

Ainsi, une génération a grandi sans qu’on lui enseigne ce que l’on appelait jadis à juste titre le « bon sens pratique » qui avait guidé les générations précédentes. La Génération Y, à qui l’on a souvent rabâché qu’elle avait reçu la meilleure éducation possible, a en réalité souffert d’une grave négligence intellectuelle et morale. Les relativiste

Nous arrivons ainsi au second enseignement seriné à la Génération Y. Quand ils s’inscrivent à un cours de sciences humaines pour travailler sur les plus grands livres jamais écrits, ce n’est pas une étude de ces ouvrages qu’on leur offre, mais une attaque idéologique en règle fondée sur une épouvantable simplification de leur contenu.

Quant aux barbares, qui s'efforcent avec une constante et stupide hostilité de contrecarrer les desseins de Dieu, il se refusait obstinément à leur accorder le moindre intérêt. Seule la sphère supérieure, celle des artistes et des créateurs, l'attirait fraternellement : il estimait que la tâche de tout intellectuel était de l'élargir, de l'étendre,

Le premier membre du noyau dur des néolibéraux à se détourner de l’opposition à l’intégration économique européenne n’est pas Röpke, qui reste un farouche opposant, mais un employé du ministère d’Erhard, Alfred Müller-Armack. Né en 1901, Müller-Armack est un contemporain de la première génération des néolibéraux. Membre du parti nazi à partir de 19