Sublime

La vie cynique est plus morale, car elle rejette les fausses valeurs des possessions et du luxe, et prône la richesse intérieure de la vie socratique. Épictète qui, comme beaucoup de stoïciens, est un grand admirateur du mode de vie cynique, écrit avec des mots qui pourraient être une tirade altermondialiste : « – Et comment peut-on vivre heureux,

This last advice is really just an application of the broader Stoic belief that, as Epictetus puts it, “what upsets people is not things themselves but their judgments about these things.”8 To better understand this claim, suppose someone deprives me of my property. He has done me harm only if it is my opinion that my property had real value.

Où donc est le progrès ? celui qui, se détachant des choses du dehors, se donne tout entier à l’éducation et au perfectionnement de sa faculté de juger et de vouloir pour la mettre d’accord avec la nature, pour lui donner l’élévation, la liberté, l’indépendance, la possession d’elle-même, l’honnêteté, la réserve

Quand tu en seras là, quand tu commenceras à être toi-même en quelque honneur auprès de toi, je t'accorderai peu à peu comme droit ce dont Épicure a fait un conseil : « Sois plus que jamais seul avec toi-même, quand tu seras forcé d'être avec la foule[933]. »

L’éthique spinoziste consiste à passer de l’impuissance à la puissance, de la tristesse à la joie, de la servitude à la liberté.

Car est-il besoin d'aller au-devant de maux qui se feront sentir assez vite, d'anticiper sur leur venue et de perdre le présent par crainte de l'avenir ? Il

Préfères-tu donc, à une pauvreté qui rassasie, une abondance famélique ?

L’absurde cupidité humaine, avec ses distinctions de jouissance et de propriété, croit que rien n’est à elle de ce qui est à tout le monde ; le sage au contraire estime que rien n’est mieux à lui que les choses qu’il partage avec le genre humain, qui ne seraient pas communes si chacun n’y avait sa part, et il fait sienne jusqu’à la moindre portion