Sublime

Larry Lessig serre les dents : le climat déréglé, la finance folle, les technologies de surveillance déjà hors de contrôle, les inégalités, la malbouffe, contre lesquels tout le monde est d’accord mais personne n’agit... S’il a marqué quelques victoires, les Creative Commons, ses livres, ses centres de recherches universitaires, ses notes pour Obam

Il paraît donc prématuré de la présenter comme une solution miracle et révolutionnaire, ce que fait le journaliste Romaric Godin dans sa postface à l’édition française, qui y voit une solution à tous les maux contemporains : chômage, crise écologique, crise démocratique, course à la croissance et dévalorisation des métiers essentiels. Il n’est pas

LE COMMERCE, qui est gagnant-gagnant, et auquel il faut donc ouvrir les frontières.

Au point de l’histoire humaine où nous en sommes, le mouvement qui décrit le mieux le progrès dont nous avons besoin est l’entrée dans un équilibre dynamique, en avançant dans l’espace juste et sûr du Donut, en éliminant à la fois les insuffisances et les dépassements. Cela requiert une véritable transformation de nos métaphores : non plus « le bie

Herman Daly.

It means, following the example of states like Costa Rica, Sri Lanka, Cuba and Kerala, investing in robust universal social policy to guarantee healthcare, education, water, housing, social security.

Rather than euthanize the rentiers, everyone could now become rentiers—effectively, could grab a chunk of the profits created by their own increasingly dramatic rates of exploitation.

Sept manières de penser : De l’économie du XXe siècle 1. Changer le but PIB 2. Voir l’ensemble du tableau marché autonome 3. Cultiver la nature humaine l’homme économique rationnel