Sublime

Nous restions fidèles à notre serment, Robert et moi. Aucun de nous deux ne quitterait l’autre. Je ne l’ai jamais vu par le prisme de sa sexualité. Mon image de lui est demeurée intacte. Il était l’artiste de ma vie.

the soundtrack that does the signaling here. The sweet, piano-soaked version of “I Shall Be Released” sung by the great Marion Williams, who once helped carry the Famous Ward Singers

Souvent, je m’installais pour essayer d’écrire ou de dessiner, mais l’activité fébrile des rues, ajoutée à la guerre du Viêt-Nam, semblait rendre mes efforts bien futiles. Je ne me reconnaissais pas dans les mouvements politiques. Lorsque j’essayais de les rejoindre, je me sentais submergée par une autre forme de bureaucratie. Je me demandais si da

Lenny s’est joint à moi la première fois que j’ai joué au West End Bar, où Jack Kerouac et ses potes écrivaient et buvaient jadis, à moins que ce soit l’inverse.

rendition of “This Little Light of Mine” no doubt soothed hearts and minds: “This little light of mine, I’m gonna let it shine / This little light of mine, I’m gonna let it shine / Let it shine, let it shine, let it shine.”45 Those words became a guiding mantra in Hamer’s life and came to embody her life’s mission long before she entered the

It makes her think of a documentary she saw about Bob Dylan. A folk singer from Greenwich Village in the sixties said, “He was just another guitar player trying to sound like Woody Guthrie. Then all at once he was Bob Dylan.”