Sublime

Il sentait les rudesses et les angoisses de la vie, ses fièvres, ses peines, ses folles révoltes — c’était cela, bien sûr, dont il fallait parler. Il voulait glorifier les champions des causes perdues, l’amour fou, les géants qui affrontaient héroïquement la terreur et la tragédie, qui craquelaient la surface des choses sous la puissance de leurs c

He interested me because he was so quiet and solitary and so happy withal; a well of good humor and contentment which overflowed at his eyes. His mirth was without alloy. Sometimes I saw him at his work in the woods, felling trees, and he would greet me with a laugh of inexpressible satisfaction, and a salutation in Canadian French, though he spoke

I’ve never met anyone who was so tangibly rooted in the center of gravity that the Japanese locate in the pit of the stomach and call the hara.

conjuguant dans une même dialectique individualité et communauté. Comme dans la plupart de ses autres livres de l’époque, il y clame son aversion pour le mercantilisme et la violence de la civilisation urbaine contemporaine. L’oeuvre n’est pas sans résonnances avec celle d’un Herman Hesse ou d’un Jean Giono et lui vaut le Prix Nobel de littérature

In loneliness I have drifted this long way, alone. My torn and shabby robe could not keep out the cold. And tonight the sky was so clear it made my heart ache all the more.

Il n’y a chez lui aucun mythe du bon sauvage, aucun fantasme d’un temps où l’homme vivrait en harmonie avec la Nature. Pour lui il y a la Création, harmonieuse en elle-même, et l’homme qui vient la troubler, quelles que soient sa race, son ancienneté et sa culture. L’homme est partout homme, il est toujours un intrus.