Sublime

la mort c'est, disais-tu : L'œuvre de tous nos jours, qu'un dernier jour achève.

Il souriait doucement et continuait : « Eh bien, j'irai vivre du côté de Mainbressy avec Martinoff et je finirai ma vie en méditant... Ou je m'embarquerai avec Chaussette, comme nous l'avons souvent rêvé, pour une île déserte... Ou encore j'irai soigner les lépreux. » Alors Mermoz se sentait sage et serein et délivré du monde. Et

Il vaut mieux, mon cher petit confrère, vivre au jour le jour que de mourir au jour le jour et, en fin de compte, nulle part encore un rôti de lièvre ne s’est senti aussi confortable que dans mon pauvre estomac.

Oui, il avait été longtemps la dupe, lui Herlin, qui plaçait en elle toute sa force. Oui. Mais tout cela n’était rien : il en souffrait seul, on est toujours seul dans la vie...

Les bouches flétries étaient armées de dents avides.

Un ami ! Tu ne l’obtiendras que dans la retraite : ailleurs, tu auras des convives triés et classés par le nomenclateur dans la foule qui vient te saluer.

'The Shepherd and the Nightingale.—"Sing to me, dearest nightingale," said a shepherd to the silent songstress one beautiful spring evening. '"Alas!" said the nightingale, "the frogs make so much noise that I have no inclination to sing. Do you not hear them?" '"Undoubtedly I hear them," replied the shepherd,

it may be doubted whether our sympathies are not with the fox rather than with the elephant. We feel that the latter, with all his wisdom and good advice, is somewhat of a bore; whilst the fox, rake and wastrel though he be, has that touch of nature that makes him kin.