Sublime

Pour bien mesurer l’ampleur de la tâche, Moati sort un vieil édito de Jean Daniel sur Mitterrand, qu’il a découpé dans un Nouvel Obs daté de 1966 : « Cet homme ne donne pas seulement l’impression de ne croire en rien : on se sent devant lui coupable de croire en quelque chose. Il insinue, comme malgré lui, que rien n’est pur, que tout est sordide e

If tools are not controlled politically, they will be managed in a belated technocratic response to disaster. Freedom and dignity will continue to dissolve into an unprecedented enslavement of man to his tools.

Le triptyque soixante-huitard : Dérision, Déconstruction, Destruction, sapa les fondements de toutes les structures traditionnelles : famille, nation, travail, État, école.

Notre époque devrait être, comme le fut la Renaissance, et plus encore qu’elle, l’occasion d’une reproblématisation généralisée. Tout est à repenser. Tout est à commencer.

Faut-il encore et encore le redire ? on ne peut appliquer à une planète naturellement limitée un principe artificiel illimité. En même temps que le réenchantement

The possibility of a convivial society depends therefore on a new consensus about the destructiveness of imperialism on three levels: the pernicious spread of one nation beyond its boundaries; the omnipresent influence of multinational corporations; and the mushrooming of professional monopolies over production. Politics for convivial reconstructio

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La seule façon de sauvegarder la complexité d’une société, c’est-à-dire ses libertés, avec un minimum d’autorité répressive, ne peut être autre chose que le sentiment vécu d’appartenance à la communauté.

luck.” The greatest danger of all, in his opinion, is a complete loss of belief in what ordinarily passes for reality: