Sublime

Il se trouve que, pendant ma période de gestation, j’ai lu Les Caves du Vatican, d’André Gide. Il parle de l’histoire comme d’un roman qui a eu lieu, alors que le roman est une histoire qui aurait pu avoir lieu1. Ces mots m’ont fait sursauter : ils exprimaient exactement ce que je voulais écrire – un roman qui aurait pu être : écrire une genèse de

“You yourself taught me that we are each composed of many parts, each clamoring for expression. We can be held responsible only for the final compromise, not for the wayward impulses of each of the parts. Your so-called selfishness is forgivable precisely because you care enough about me to share it with me now.

Every age has its own collective neurosis, and every age needs its own psychotherapy to cope with it.

You will find that no one has ever done anything wholly for others. All actions are self-directed, all service is self-serving, all love self-loving.”

In my view, four ultimate concerns are particularly germane to the practice of therapy: death, isolation, meaning in life, and freedom.

Je me suis toujours dit que refuser ce genre de poste était une sage décision, car c’est dans la recherche clinique, la pratique et l’écriture que je prouve mes vraies capacités. Je dois néanmoins admettre que ma peur des conflits, ma timidité d’une façon générale ont joué un rôle significatif dans ce comportement. Connaissant mon goût pour les soi

« Dans de nombreux cas psychiatriques, écrit-il, le malade a une histoire qu’on ne raconte pas et qu’en général, personne ne connaît. Pour moi, la véritable thérapie ne commence qu’une fois examinée l’histoire personnelle. Celle-ci représente le secret du malade, secret qui l’a brisé. En même temps cette histoire renferme la clé du traitement. Il e