Sublime

Au pays de l’Oncle Sam, la justice distribue aveuglément un permis de forniquer aux femmes, le droit de faire des enfants sans l’accord de leur conjoint, ainsi que de tromper leur mari sans jamais avoir à en subir les conséquences.

La plupart de nos lois pénales n'atteignent, heureusement peut-être, qu'une petite partie des coupables ; nos lois civiles ne seront jamais assez souples pour s'adapter à l'immense et fluide variété des faits. Elles changent moins vite que les mœurs ; dangereuses quand elles retardent sur celles-ci, elles le sont davantage quand elles se mêlent de

la loi de Briffault.

En lien avec les travaux d’un groupe de juristes britanniques menés par Sir Hartley Shawcross, Abs fait circuler en 1959 pour avis un « projet de convention sur les placements à l’étranger ». Le document porte sur la protection des biens des « nationaux », définis non comme des individus mais (selon le code de la CCI) comme des « sociétés », compre

La justice américaine devient donc injuste. Certains hommes considèrent qu’il est risqué, voire dangereux de se marier, car en cas de divorce, qui arrive tout de même une fois sur deux, l’homme perd maison, argent, et peut se retrouver contraint de payer des pensions alimentaires pour entretenir des enfants que son ex-femme adultère a eus avec un a

Cette dualité a donné lieu à une jurisprudence étoffée et contradictoire. Ainsi, le Conseil constitutionnel a rendu plusieurs décisions donnant à la CSG un statut d’impôt. Pour lui, elle sert au financement de la protection sociale sans pour autant ouvrir des droits à prestations. Or, ce mécanisme d’obligation de contribution sans contrepartie est