Sublime
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Un autre jour. De la poésie, ce coup-ci ! Écris-lui un poème, épanche ton cœur en douces cadences ; l’ennui c’est que je ne sais pas écrire en vers. Avec moi c’est toujours amour toujours, des mauvaises rimes et des sentiments foireux. Oh, Dieu du Ciel, et ça s’appelle écrivain : même pas fichu de torcher un petit quatrain. Je valais décidément pas
... See morePhilippe Garnier • Romans 1 : La route de Los Angeles/Bandini/Demande à la poussière (LITT. ETR.) (French Edition)
colloquial,
Haruki Murakami • 1Q84: Books 1 and 2
That was probably my number one reason for drinking—being stuck in a crowded room, with all the noise and the laughing, where everyone could see me.
David Demchuk • Red X: A Novel
ils oublient qu’il faut 5 ou 6 braves hommes par siècle pour faire avancer les choses au-delà de la pourriture et de la mort. Je ne suis pas en train de dire que Je suis un de ces hommes mais je peux te garantir que je ne suis pas un des autres. Ce qui me laisse quelque part entre les deux –
Charles Bukowski • Sur l'écriture (LITTÉRATURE GÉNÉRALE) (French Edition)

Poems
Kevin Mialky • 3 cards
Un jour et un autre et celui d’avant, toujours la bibliothèque avec les caïds sur les étagères, ce vieux Dreiser, ce vieux Mencken, j’allais leur rendre visite tous tant qu’ils étaient, salut Dreiser, salut Mencken, salut, salut. Il y a une place pour moi aussi sur les étagères, et ça commence par B, Arturo Bandini dans les B, allez, dégagez un peu
... See morePhilippe Garnier • Romans 1 : La route de Los Angeles/Bandini/Demande à la poussière (LITT. ETR.) (French Edition)
Hill était à près de trois bornes mais je suis rentré à pied. Arrivé chez moi je me suis dit que c’en était bien fini avec Camilla Lopez, et pour de bon cette fois. Et tu le regretteras un jour, petite gourde, parce qu’un jour je serai célèbre. Je me suis mis à ma machine et j’ai tapé presque toute la nuit.
Philippe Garnier • Romans 1 : La route de Los Angeles/Bandini/Demande à la poussière (LITT. ETR.) (French Edition)
Quand je me suis extirpé du bar, je me suis senti nettement mieux. On était bien tous aussi fous les uns que les autres et la vie n'était qu'un tissu d'absurdité. Heureusement qu'il restait les bons moments, tout le monde sait de quoi je veux parler et rien qu'avec ça, la vie valait quand même le coup, le reste avait pas la moindre importance.