Sublime

A certain Dembscher owed Beethoven fifty florins, and when the composer, who was chronically short of funds, reminded him of the debt, Dembscher heaved a mournful sigh and said, “Muss es sein?” To which Beethoven replied, with a hearty laugh, “Es muss sein!” and immediately jotted down these words and their melody. On this realistic motif he then c

the music of J. S. Bach, whom I profiled a few chapters ago as the sine qua non of jumping from fluid to crystallized intelligence.

Chez Strauss le processus de travail est tout à fait remarquable. Rien de démonique, pas de « raptus » artistique, aucune trace des dépressions et des désespoirs qu’on connaît par les biographies de Beethoven ou de Wagner. Strauss travaille avec froideur et sobriété, il compose — comme Johann Sebastian Bach, comme tous ces sublimes artisans de leur

“Someone like Mozart or Bach remains relevant because they either contradict or embody the idea of the hero’s

Nadia Boulanger always used to tell me, “Quincy, your music can never be more or less than you are as a human being.”

Il a établi pour toute production véritable, la loi de la monomanie et le voilà qui en fournit lui-même négativement la preuve. Lui qui a dit une fois qu’un artiste est obligé je se refaire la main quand il est resté un certain temps loin de son travail, il quitte maintenant trop souvent son atelier. On ne peut pas écrire quand on passe sa journée