Penser comme un moine (French Edition)

Ces trois étapes de la transformation étaient comme un microcosme de toute mon expérience de moine : premièrement, on lâche prise sur l’extérieur et sur l’ego, deuxièmement, on reconnaît sa valeur et on apprend que l’on n’a pas besoin de posséder quoi que ce soit pour servir et troisièmement, on cherche continuellement à aider mieux.

Servez-vous de votre rupture pour définir des attentes réalistes au sujet de ce que vous méritez et de ce dont vous aurez besoin dans votre prochaine relation amoureuse, et souvenez-vous que vos attentes peuvent être différentes de celles de la personne avec laquelle vous avez rompu et/ou de la personne à venir. Quelle a été la plus grande attente

Voici la clé : aider son prochain est toujours la réponse à nos problèmes. Cela éclaire un mauvais jour. Cela relativise les fardeaux que nous portons. Venir en aide aux autres est bénéfique autant à autrui qu’à soi-même. L’idée est de ne rien attendre en retour, mais il n’empêche qu’aider procure de la joie. C’est un échange d’amour.

Une étude intitulée « Harvard Grant Study » a permis de suivre 268 étudiants de la prestigieuse université pendant soixante-quinze ans et de collecter une multitude de données sur leur vie. Lorsque les chercheurs ont passé en revue ces données, ils ont trouvé un unique facteur qui permettait de prédire avec fiabilité la qualité de vie des sujets :

EXERCICE : AIDEZ LES PERSONNES DONT VOUS CONNAISSEZ LE MIEUX LA SOUFFRANCE Un moyen d’aider son prochain consiste à guérir la souffrance que l’on connaît le mieux. Inscrivez trois moments de votre vie dans lesquels vous vous êtes senti perdu ou en difficulté. Peut-être étiez-vous déprimé et auriez-vous eu besoin de soutien. Peut-être auriez-vous vo

je n’ai pas encore révélé la leçon la plus importante que j’ai apprise quand j’étais moine et qui m’accompagne tous les jours de ma vie. Roulement de tambour, s’il vous plaît. Le but le plus élevé est de vivre dans le service.

Les problèmes auxquels certains d’entre nous font face sont mentaux (anxiété, dépression, solitude), tandis que pour beaucoup de personnes qui ont besoin d’aide, les plus grandes difficultés sont plus basiques : trouver de la nourriture, des vêtements, un abri. Nous pouvons guérir de nos difficultés mentales en les aidant à combler leurs besoins ph

Réfléchir au fait qu’un jour, nous mourrons nous contraint à valoriser le temps dont nous disposons et à l’utiliser intelligemment. La vie est trop courte pour que nous nous donnions le luxe de n’avoir aucun objectif dans la vie, pour que nous laissions passer notre chance d’aider autrui, pour que nous emportions nos rêves et nos aspirations dans n

Il y a trois états d’esprit qui décrivent notre relation à l’argent et à la richesse matérielle. Le premier est l’égoïsme : j’en veux plus, autant que possible, et je veux tout garder pour moi. Le deuxième est la suffisance : j’ai juste assez pour m’en sortir. Je ne souffre pas, mais je n’ai rien à donner. Le troisième est le service : je veux donn