La vingt-cinquaine (French Edition)

Après quelques années en entreprise, tu comprends les règles du jeu. Tu réalises qu’il te reste quarante ans avant la retraite. Quand tu regardes ceux qui sont plus vieux que toi, tu vois que la plupart des gens n’aiment pas leur travail. Il sont là pour le salaire, le prestige et parce qu’ils n’ont pas le choix. C’est au moment où tu doutes de ce

C’était un type qu’on appelait quand tout allait bien ou tout allait mal. Il vivait dans l’intensité et se moquait des faux-semblants. Je n’étais pas encore habitué aux notes

Le premier jour s’écoula calmement, dépassant des paysages connus. J’avais assez navigué pour savoir que le contre-coup viendrait le lendemain. Les deuxièmes jours en mer sont les plus compliqués, le corps réalise alors partir en voyage.

Franz vivait une relation indéfinissable. Sa copine était une magnétiseuse très portée sur la spiritualité, ils étaient ensemble depuis huit ans. Tous deux se voyaient rarement, accaparés par leurs activités respectives. « On doit se voir quelques mois par an, des périodes pendant lesquelles on ne se quitte pas. Sinon, chacun fait sa vie ! » J’avai

Ce soir-là, on fêta notre emménagement en colocation dans un magnifique appartement. Une immense baie vitrée ouvrant sur un balcon qui desservait toutes les pièces. Luxe ultime, nous avions une salle de bain chacun, ce qui restait la manière la plus sûre d'assurer une colocation réussie. L'appartement nous coûtait une fortune et il le valait bien.

Que de choses il faut ignorer pour agir. » - Paul Valéry

Les ruptures font mal deux fois, énonça Sébastien après un long silence. D’abord, quand on se sépare. Ensuite, quand la personne qui voulait le moins se séparer réalise que l’autre est passé à autre chose. Tu sais, rien de tout ça n’annule l’époque heureuse que vous avez partagée.

trop. Sinéad partait en vacances le lendemain, j’envoyais un message. Deux jours plus tard, j’étais sans réponse. Dix jours encore passèrent sans nouvelles. Je la savais probablement rentrée à Dublin, mon téléphone restait silencieux. J’envoyais un deuxième message, ce foutu message de relance dont le contenu n’importait pas, puisqu’il voulait dire

« Le talent, ça n'existe pas. Le talent, c'est d'avoir envie de faire quelque chose. » - Jacques Brel