L’action effective peut consister en : –Actions matérielles, soumises à toutes les contraintes propres aux lois du monde matériel comme les transformations de la matière, les déplacements dans l’espace, etc. et dont les traces d’effectuation sont directement observables. –Actions matérialisées qui se déploient dans le monde matériel sans lui être

Définir l’action : globalement, l’action désigne le fait d’agir. Mais la difficulté vient des sens habituels qui contaminent la simplicité de cette définition par d’autres sens particuliers, historiquement présents depuis longtemps. Ce sens global n’est pas retenu dans la majeure partie des ouvrages qui portent le terme d’action dans leur titre. Le

Action

En particulier, dans la formulation des questions et des relances, il est indispensable de se souvenir que ce que l’on questionne c’est l’évocation, non la réalité perceptive passée.

Souvent les inférences que l’on fait à partir des gestes oculaires peuvent être corroborées par la forme des gestes ponctuant la parole, une main qui tourne autour de l’oreille et qui indique que le sujet accède à un discours interne ou qu’il évoque un son ou des paroles ; des mains qui dessinent dans l’espace devant le sujet, là où se trouve ce

En effet, dès leurs premières publications, Grinder et Bandler ont établi une correspondance entre le fait que lors d’une évocation avec image visuelle les yeux décrochaient vers le haut (nous ne nous occupons pas ici de la latéralisation gauche/droite du regard), qu’un regard horizontal était relié à un codage auditif (sonore ou lexical), qu’un

Bien entendu, là encore, c’est au formateur de s’adapter dans un premier temps. Ce qui suppose trois apprentissages : –savoir identifier les canaux sensoriels employés par l’interviewé, –connaître ses propres codages sensoriels, pour identifier ce qui peut gêner dans la poursuite du dialogue, –savoir opérer une traduction simultanée d’un mode

visuelle, auditive, kinesthésique.

Dans des moments où la mise en mots se révèle un peu délicate, il est tout à fait pertinent, en même temps que l’on formule une relance, qu’elle soit question ou reformulation, de l’accompagner de la reprise imitative discrète du geste de l’interviewé. J’utilise le qualificatif de discret, pour souligner qu’il ne s’agit jamais d’une imitation