
Internet rend-il bête ? (French Edition)

élargit le spectre de notre sensibilité.
Nicholas Carr • Internet rend-il bête ? (French Edition)
Au début du deuxième millénaire, les auteurs avaient commencé à s’imposer des règles gouvernant l’ordre des mots, ceux-ci devant s’intégrer dans un système de syntaxe standardisé et prévisible.
Nicholas Carr • Internet rend-il bête ? (French Edition)
Elle nous donne aussi à tous une flexibilité mentale, une souplesse intellectuelle, qui nous permet de nous adapter à des situations nouvelles, d’apprendre de nouveaux savoir-faire, et en général, d’élargir notre horizon.
Nicholas Carr • Internet rend-il bête ? (French Edition)
Il pensait que les « physiologistes électroniques » finiraient par être capables de surveiller et d’analyser « la pensée ou les ondes du cerveau », ce qui leur permettrait « de mesurer la joie et le chagrin en unités quantitatives définies
Nicholas Carr • Internet rend-il bête ? (French Edition)
Ils ne lisent pas nécessairement une page de gauche à droite et de haut en bas. Bien plutôt, ils auraient tendance à faire des sauts de puce à la recherche d’informations pertinentes
Nicholas Carr • Internet rend-il bête ? (French Edition)
L’invention apparemment modeste de Lee de Forest se révéla être de celles qui changent la face du monde. Comme elle pouvait servir pour amplifier un signal électrique, elle pouvait aussi servir à amplifier les transmissions audio envoyées et reçues sous forme d’ondes radio.
Nicholas Carr • Internet rend-il bête ? (French Edition)
La plasticité neuronale, dit-il, est un des produits les plus importants de l’évolution, une caractéristique qui permet au système nerveux « d’échapper aux limitations de son propre génome et ainsi, de s’adapter aux pressions de l’environnement, aux changements physiologiques et au vécu [28]
Nicholas Carr • Internet rend-il bête ? (French Edition)
ils enrichissaient aussi leur expérience du monde physique, le monde qui est à l’extérieur des livres.
Nicholas Carr • Internet rend-il bête ? (French Edition)
Mais le passage d’une mémoire à l’autre est aussi le plus grand goulet d’étranglement de notre cerveau. Contrairement à la mémoire à long terme, qui a une énorme capacité,