Sublime

John Muir is remembered primarily as a no-nonsense conservationist and the founding president of the Sierra Club, but he was also a bold adventurer, a fearless scrambler of peaks, glaciers, and waterfalls whose best-known essay includes a riveting account of nearly falling to his death, in 1872, while ascending California’s Mt. Ritter.

John Muir famously wrote, “When we try to pick out anything by itself, we find it hitched to everything else in the universe,”

John Muir grandit et se forma avec un pied dans chacune des deux réalités qui coexistaient alors : un dans l’Écosse ordonnée et studieuse, l’autre dans la Grande Sauvagerie qui s’étendait au-delà des champs de son père. Et chez l’homme qu’il devint se produisit ce miracle qui n’a pas si souvent lieu, d’être à la fois très ouvert au monde et conscie

John Muir liked to limit his “supplies” to a tin cup, a loaf of stale bread, and an overcoat.

Poussé par l’émerveillement qui a été le sien durant une vie de promenade, effrayé de voir l’inestimable disparaître massivement, Muir va militer pendant vingt ans contre ce pillage effroyable des ressources forestières. C’est « la grande bataille entre la justice paysagère et le diable », entre la naïve beauté du monde et ce mal absolu qu’est l’en

Figure mythique aux États-Unis, créateur du parc national de Yosemite, John Muir s’interrogea sur le sens de la vie dans la nouvelle société industrielle et y répondit tout simplement par son mode de vie.

John Muir once wrote, ‘When we try to pick out anything by itself, we find it hitched to everything else in the universe.’

—John Muir, Travels in Alaska, 1915