Sublime
An inspiration engine for ideas

Mais Brissenden demeura une énigme. Malgré son visage d’ascète et son organisme anémié, c’était un sybarite déclaré. La mort ne lui faisait pas peur, le spectacle de la vie suscitait chez lui amertume et cynisme ; et pourtant, mourant, il adorait la vie, voulait en savourer jusqu’au dernier atome. Il était possédé d’un désir éperdu de vivre, de vib
... See morePhilippe Jaworski • Martin Eden (édition enrichie) (French Edition)
Au bloc, la tumeur gris sale et putréfiée ressemblait à un envahisseur enraciné dans les circonvolutions fraîches et rosées de l’encéphale et elle me mettait en colère (« Je t’ai eue, pétasse ! »).
Paul Kalanithi • Quand le souffle rejoint le ciel (Essais et documents) (French Edition)
on a visit to New York City, he saw hungry-looking men sleeping in alleyways, as if one foot were already in the grave. “These people are Les Miseràbles of America,” he wrote to his parents in September 1965. “People that don’t make it in America’s social race to succeed are simply run over.”
Ariel Sabar • My Father's Paradise: A Son's Search for His Jewish Past in Kurdish Iraq
Charles Logan
@cafejerk
William Jameson
linkedin.comthis is not a question of what he “deserves,” for it is not meant as a “kindness” to him, per se. He must go free. He has no choice.