Sublime

Nietzsche fut un tel fanal dans ce monde, l'éclair qui précède la tempête, le grand tumulte qui se déchaîne sur le haut des montagnes avant que l'ouragan ne descende dans les vallées ; personne n'a senti d'avance avec une sûreté aussi météorologique tous les détails non moins que la violence du cataclysme qui allait atteindre notre culture.

“One must learn to look away from oneself in order to see much: this hardness

Si le grand penseur méprise les hommes, c’est leur paresse qu’il méprise, car c’est elle qui leur donne l’allure indifférente des marchandises fabriquées en série, indignes de commerce et d’enseignement.

“Nothing does us as much good as the fool’s cap: we need it against ourselves,”1 writes the German philosopher Friedrich Nietzsche (1844–1900). The “fool” destroys by laughing at values and truths, showing the chaotic and senseless world behind them. The fool is a manifestation of the Dionysian, an essential chaotic and destructive drive, but one t