Sublime

Diogenes,

Alain Delon.

De là, il passe à Jack London, Knut Hamsun, les grands vagabonds, ceux qui ont fait tous les métiers et nourri leurs livres de ces expériences.

son plus beau selon moi depuis le mémorable Journal d’un raté : Le Livre des eaux.

Nous voici revenus au début de ce livre. Quand j’ai fait mon reportage sur Limonov, il était sorti de prison depuis quatre ans. Je ne savais rien de tout ce que je viens de raconter, il m’a fallu presque quatre ans de plus pour l’apprendre, mais j’ai tout de même senti, confusément, que quelque chose clochait. C’était comme s’il avait toujours le m

Il nous reste les mots.

demiurges

I say to myself that this guy demonstrates the same virtues of accuracy, simplicity, and naturalness in giving expression to his old master’s words that I look for when I write.

Wyatt Mason’s article doesn’t end with this passage, which is so remarkable for its literary and human qualities, but with these lines: “However preoccupied Carrère is with loss and violence and pain, his books move to endings that earn a space of joy. They are written by someone who knows precisely what they cost.”