Sublime

It is only with the heart that one can see rightly; what is essential is invisible to the eye.’

The Japanese have a nice way of putting it: “The day you cease to travel, you will have arrived.”

Il avait l'âge de Lindbergh, son exemple le fascinait. Mais la grandeur ne connaît pas la série. Les hommes qu'elle a marqués ne suivent jamais les mêmes chemins.

Or, sous le toit de la même baraque, un autre pilote écrivait. Son aspect était singulier. Il portait une gandourah luisante d'un long usage. Une barbe hirsute encadrait sa figure ronde au nez relevé, au front bombé, aux yeux fixes d'oiseau de nuit. Il venait d'être nommé chef d'aéroplace à Juby. Il devait y rester dix-huit mois de suite. Il s'appe

D'ailleurs, il est temps de regarder avidement celui qui, de l'enfant de Mainbressy, de l'adolescent du Montparnasse, du caporal de Palmyre, de l'anarchiste de Thionville, du clochard parisien, du pilote de ligne d'Espagne, d'Afrique, d'Amérique et de l'Océan, est devenu pour tous le grand Mermoz. Il est temps.

“If a person is living out his Personal Legend, he knows everything he needs to know. There is only one thing that makes a dream impossible to achieve: the fear of failure.”

Grown-ups like digits. When you talk to them about a new friend, they never ask you the essential. They never tell you: “What does his voice sound like? What games does he prefers? Does he collect butterflies?” They ask you: “How old is he? How many brothers does he have? How much does he weight? How much money does his father earn?” Only then, the