melonoe

Vous imaginer bien que je me bouge, que je ne me laisse pas aller à la dépression qui me guette de loin en loin. Elle m’observe, fuma sa clope, elle ricane même devant le résultat de mes effort cette grosse conne. En tout cas j’essaie, sinon je ne serait pas là à vous écrire. Je serait au fond de mon lit à saturer mon cerveau de média à attendre que la vie passe ou cesse. definitivement. de passer.

J’ai de petites techniques à donner que j’ai glané ici et là, n’étant pas radine je vous les partage :

la dernière étant que je fais malgré et même avec. J’écris et j’ai honte etma vois me dis que je ne suis qu’une merde qui ne fais que de la merde. Phylosophe, je me dis que ma merde à l’avantage de ne blesser personne et qu’elle à donc bien le droit d’exister. doc j’écris.

Pareil quand je joue, les enjeux ne sont pas vitaux, je ne travail pas pour l’hopital publique tout va bien, ce n’est pas grave d’être la plus mauvise comédienne que la terre ai portée.

Et là dedans, parfois j’arrive à m’oublier, àm’amuser, à voir percevoir que ça vaut le coup de faire des trucs.

et quand ceux qui me devancent regarde derrière eux, se damnde ou j’en suis j’ai honte, honte de toujorus me tenir derrière un comtpoire ou jen ‘ai pas ma place à vendre du pain dont je n’ai rien à faire et ça même pas pour une somme qui me permette de vivre dignement. Je porte des taules 25hsemaines, je nettoie des vitres, change des poubelles, emballe des gateaux, des sandwiches et des croques monsieuret ma mauvaise estime me suis partout dans chaque recoin de cette boulangerie qui à chaque minutes qui passe me prend un peu de qui je suis, me regarde du haut du plafond jaunis de la boutique et me suggère de me prendre à la chaine qui qui suspend une partie de la vitrine. J’aihonte de n’avoir pas encore fait quelque chose, un truc, qui m’élève au rang de personne qui s’en sort, qui vit. Je cache mes tentatives, j’analyse les reactions et quand je fais une chose jusqu’au bout et que rien de plus ne se passe, je considère la possibilité d’être encore la bonne à rien.

Bien sur que je sais que l’économie et l’ambiance politique actuelle de la france est hostile au personnes de ma classe. Sans parler du chaos familial duquel je proviens, je n’ai pas un membre de ma famille qui ai de l’argent et de l’amour recette magique pour évoluer dans ce monde. Certain on de l’amour, d’autre de l’argent, d’autre non ni l'un ni l’autre.

Mais et alors ? Après avoir passé des années à étudier et travailler dans l’espoir de voir ma condition s’éléver ne serais ce qu’a la normalité, et d’être en echec constant, l’echec aura eu raison de ma psyché, à plusieurs reprises

Je ne sais pas exactement d’ou me vient ce mauvais sort.

Ce que je peux vous dire en revanchec’est qu’aucain de mes deux parents jusqu’ici 'n’a été un exemple de ce que c’est que de mettre ces capacités qu’elle qu’elle soit au service de sa propre réussite. Je dirais même que dans ma famille court la croyance silencieuse selon laquelle on serait plutôt bons à rien. Et en tant qu’enfant bien loyale au traditions familiale, cette croyance est là en moi, plus vive que tous les contre exemples et experiences vévues auquel je pourrait me raccrocher pour continuer d’avancer