The Economist a sacré le président Xi Jinping homme le plus puissant du monde. C’est la première fois qu’il ne s’agit pas d’un président américain.

La banque bascule sur les mobiles et les smartphones. Mais les banques traditionnelles résistent : vous continuez à leur faire confiance, vous continuez à accepter de payer des frais largement plus élevés que ceux des banques en ligne ou mobiles. C’est votre choix. Les banques ont de plus en plus de concurrence mais, en France, elles résistent bien

Si on voulait caricaturer, et vous savez que je n’aime pas le faire…, Macron aime les jeunes, entrepreneurs, start-uppers, qui investissent leurs économies dans des placements « productifs », des placements à risque. Il n’aime pas les baby boomers retraités ou proches de la retraite qui auraient à la fois trop de patrimoine improductif, de

On peut d’ailleurs dire que les banques ont, pour l’instant, intelligemment négocié le virage des fintechs et sont parvenues à transformer cette révolution bancaire qui aurait pu les déstabiliser en une révolution d’usage et de services qu’elles intègrent de plus en plus souvent dans leur offre.

Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud ? Il a fallu quelques crises, économiques et politiques, pour qu’on comprenne que les pays émergents ne formaient pas un bloc homogène, mais recouvraient une multitude de situations spécifiques. La Russie a chèrement payé sa dépendance au pétrole, le Brésil a souffert d’une crise politique sans

Je vous le dis, et je vous le répéterai : même si la fiscalité n’a pas été modifiée, il faut arrêter de bourrer vos livrets A et placements assimilés ! Vous ne devez y stocker que votre épargne de précaution, soit six mois de votre budget de dépenses. Six mois, pas plus. Il y a des placements qui rapportent plus et sont aussi liquides. Alors, par

Avec l’émergence des opérateurs télécom dans le système bancaire, il s’agit moins d’une révolution que de la naissance d’une concurrence sérieuse pour les banques traditionnelles et les banques en ligne.

Non, ce n’est pas la fin du travail. Pas tout à fait. Mais nous allons vivre une marginalisation du travail. Les plus optimistes appelleront cela « un rééquilibrage entre le travail, la vie privée et les loisirs », au détriment d’un travail humain dont le champ sera inéluctablement de plus en plus réduit. Mais c’est un fait. Il faut vivre avec. Il

AUJOURD’HUI on étudie. On réfléchit avant de bosser. On ne trouve pas forcément le job qui plaît. Alors on a, volontairement ou par nécessité, plusieurs jobs différents. En stage prolongé, en CDD, en temps partiel ou en indépendant. Même en CDI, on n’est pas assuré de garder son emploi ou même d’avoir envie de le garder. On se pose beaucoup de