
Les Souffrances du jeune Werther (French Edition)

Sa présence, sa destinée, l'intérêt qu'elle prend à mon sort, expriment encore les dernières larmes de mon cerveau calciné.
Johann Wolfgang Von Goethe • Les Souffrances du jeune Werther (French Edition)
Si tu me demandes comment sont les gens de ce pays-ci, je te répondrai : Comme partout. L'espèce humaine est singulièrement uniforme. La plupart travaillent une grande partie du temps pour vivre, et le peu qui leur en reste de libre leur est tellement à charge, qu'ils cherchent tous les moyens possibles de s'en débarrasser. O destinée de l'homme !
Johann Wolfgang Von Goethe • Les Souffrances du jeune Werther (French Edition)
J'ai tant ! et son idée dévore tout ; j'ai tant ! et sans elle tout pour moi se réduit à rien.
Johann Wolfgang Von Goethe • Les Souffrances du jeune Werther (French Edition)
Oui, sans doute, je ne suis qu'un voyageur, un pèlerin sur la terre ! Etes-vous donc plus ?
Johann Wolfgang Von Goethe • Les Souffrances du jeune Werther (French Edition)
Que chez les enfants tout soit irréflexion, c'est ce que tous les pédagogues ne cessent de répéter ; mais que les hommes faits soient de grands enfants qui se traînent en chancelant sur ce globe, sans savoir non plus d'où ils viennent et où ils vont ; qu'ils n'aient point de but plus certain dans leurs actions, et qu'on les gouverne de même avec du
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Je suis content et heureux, par conséquent mauvais historien.
Johann Wolfgang Von Goethe • Les Souffrances du jeune Werther (French Edition)
Du reste, j'ai trouvé sur mon chemin plusieurs caricatures originales. Tout en elles est insupportable, surtout leurs marques d'amitié.
Johann Wolfgang Von Goethe • Les Souffrances du jeune Werther (French Edition)
Mourir ! tombeau ! Je n'entends point ces mots !
Johann Wolfgang Von Goethe • Les Souffrances du jeune Werther (French Edition)
Ah ! pourquoi l'amie de ma jeunesse n'est-elle plus ! et pourquoi l'ai-je connue! Je me dirais : Tu es un fou, tu cherches ce qui ne se trouve point ici-bas… Mais je l'ai possédée, cette amie ; j'ai senti ce cœur, cette grande âme, en présence de laquelle je croyais être plus que je n'étais, parce que j'étais tout ce que je pouvais être.