Les Barrières invisibles dans la vie d'une femme : Les repérer pour les dépasser (A.M.PSYCHOLOGIE)
Nathalie Rapoport-Hubschmanamazon.com
Les Barrières invisibles dans la vie d'une femme : Les repérer pour les dépasser (A.M.PSYCHOLOGIE)
Culpabilité et manque de confiance en soi vont souvent de pair, l’une renforçant l’autre dans un cercle vicieux particulièrement dangereux pour le bien-être et la réalisation de soi : « Si je n’y arrive pas (sous-entendu : à être parfaite), c’est probablement parce que je n’en fais pas assez », ou encore « parce que je ne suis pas assez douée », ou
... See moresont les femmes qui décrivent que leur sens des priorités se modifie quand elles ont un enfant. Ce qui leur paraissait primordial auparavant, comme le fait de passer de longues heures au bureau, se met à passer au second plan et chacune ajuste la réalité quotidienne selon ses possibilités, souvent au détriment de son propre intérêt. Souvent, dès qu
... See morece sont toujours les femmes qui assument l’immense majorité des tâches pratiques (devoirs, visites chez le médecin, achats…) et qui paient un prix élevé en termes de fatigue mentale et psychique.
Une dimension essentielle du bonheur des femmes est liée à notre capacité à être connectées aux autres.
Ce sont elles qui, lorsqu’elles sont en haut de la pyramide, comme Fosca ou moi, ont la lourde responsabilité d’impulser les changements et de faire en sorte que plus de femmes accèdent aux étages supérieurs des organisations. Ce sont aussi elles qui doivent veiller à ne pas se prendre au « jeu de la reine des abeilles », celle qui, au sommet de la
... See moreSi on représente notre capacité au bonheur comme un cercle, un gâteau ou comme on dit en français un camembert, on peut l’imaginer divisé en trois parties. La plus grande, 50 %, représente effectivement notre « héritage bonheur » : ce qui dépend de nos gènes, de notre personnalité et qui reste relativement stable tout au long de la vie. 10 % sont l
... See moreC’est en apprenant à échouer que l’on apprend à réussir. Les attentes que l’on fait peser sur les filles les poussent dès le départ vers la recherche de la perfection.
Comme le disait Bengt Westerberg, qui était vice-Premier ministre lorsque le premier mois de congé de paternité a été introduit en Suède en 1995 : « La société est le miroir de la famille. Le seul moyen d’arriver à l’égalité dans la société est d’obtenir l’égalité à la maison. Faire en sorte que les pères partagent le congé parental en est une part
... See moreIl ressort donc de ces études qu’en règle générale le monde intérieur des hommes est moins centré sur les autres. Ils font moins preuve d’empathie sauf si leur motivation est forte. Ils perçoivent moins rapidement les émotions de l’autre. Et en situation de stress, ils ont tendance à se désengager de la relation.