Vous êtes littéralement bombardé de stimuli, à chaque instant. Avec le temps, cet énorme volume d’impressions sensorielles commence à s’organiser selon un schéma bien distinct en vous. Ce schéma prend peu à peu la forme de tendances comportementales. Un ensemble de tendances se durcit avec le temps pour former ce que vous appelez votre

Vivre pleinement ne signifie pas seulement prendre du bon temps. C’est faire l’expérience de tout ce qui se présente de façon pleine et intense. Le processus de la vie c’est la dissolution du karma. Si vous vivez chaque instant de votre vie totalement, vous dissolvez un énorme volume de karma.

distinguer douleur et souffrance. La douleur est d’ordre physique. La douleur est produite lorsqu’une quelconque blessure est infligée au corps. La douleur est la façon dont le corps vous avertit que quelque chose ne va pas, qu’il faut agir. La douleur est utile. C’est un signal d’alarme précieux. La souffrance, en revanche, est psychologique.

Le savoir conceptuel est la voie de l’érudit. La connaissance perceptive est la voie du yogi.

L’accumulation karmique est déterminée par votre intention, et pas simplement par son impact sur autrui.

Pour certains individus qui vivent assez misérablement à l’extérieur, la vie carcérale offre une alternative structurée. Et pourtant, si vous entrez dans une prison, vous ressentez de la douleur dans l’air. C’est une douleur profonde, inexplicable, car la sécurité est offerte, mais la liberté a été confisquée. La perte de liberté est la souffrance

Votre corps sait déjà qu’il fait partie de la grande danse moléculaire du cosmos. Il sait qu’il ne survivrait pas un seul instant sans échanges avec l’air, l’eau, la lumière du soleil et la terre. Votre mental, cependant, pense autrement : il est persuadé d’être une entité limitée.

votre mental façonne la manière dont vous faites l’expérience du monde autour de vous. Cela devient votre karma – une orientation de la vie que vous vous êtes créée de façon relativement inconsciente. Vous n’êtes pas conscient de la façon dont ces tendances se développent. Mais ce que vous considérez comme « moi » n’est qu’une accumulation

L’une des responsabilités fondamentales de chaque génération est de réaliser que nous ne sommes que des passeurs de relais. Nous transmettons simplement le bâton de la génération précédente à la suivante. Il est de notre responsabilité de transmettre une meilleure planète. D’un point de vue écologique, ce n’est plus possible ; nous avons donc,