Journal intime d'un touriste du bonheur (Developpement personnel) (French Edition)

Elle nous invite à calmer notre respiration, puis nous demande de nous imaginer à l’âge de six mois et d’essayer de nous souvenir du monde tel qu’on le voyait à cette époque. Puis de faire pareil à l’âge de deux ans, cinq ans, dix ans, seize ans, vingt ans… De nous rappeler ou d’imaginer ce qu’était ou serait notre perception du monde à trente ans,

Comme l’explique Tolle, le terme « péché », en araméen, signifie « rater la cible » et n’est donc chargé d’aucune connotation moralisatrice ou culpabilisante. Pécher, selon Jésus, c’est manquer l’objectif : c’est passer à côté du but de la vie, qui est d’honorer le divin en autrui et en soi-même, de s’aimer soi et d’aimer l’autre. Alors pourquoi l’

la vie est comme une cible divisée en quatre zones avec un cercle au centre et trois zones concentriques autour. Au centre de la cible, la zone de confort ; autour de la zone de confort, la zone d’apprentissage ; ensuite, la zone de panique ; et, enfin, la dernière, à l’extrémité du cercle : la zone magique.

Avec mes Antisèches, je vais m’abreuver à différentes sources sur la question du bonheur – que ce soient des livres, des conférences ou des rencontres – et j’en partage la synthèse avec qui veut bien me lire ou m’écouter. On peut appeler ça de la vulgarisation. Si la vulgarisation, c’est prendre des concepts complexes qui ne profitent qu’à peu de g

Je connais tellement de personnes comme ça, qui ne supportent pas d’être chez elles, dans le silence. Qui ont besoin de la télé pour s’endormir. Qui sont angoissées s’il n’y a pas de bruits ambiants. Qui, instinctivement, cherchent à remplir le vide ou à masquer la douleur pour ne pas l’affronter. « Tout le malheur des hommes vient d’une seule chos

si j’ai bien appris une chose au cours de ce voyage, c’est qu’on peut observer son mental et le rediriger, pas le contrôler complètement. Comme un bateau dans une mer d’icebergs : on ne peut l’arrêter, seulement lui faire changer de cap.

Au cœur de l’enseignement de Goenka, il y a l’idée selon laquelle toute la souffrance humaine, tout le malheur humain proviennent de l’illusion du concept de « Moi ». Le concept de « Moi », cette tendance que nous avons à nous identifier aux choses : nos goûts, nos possessions, nos relations, nos croyances…

C’est ce qu’on appelle « l’effet miroir » : tout ce qu’on voit en l’autre, le bon comme le mauvais, on l’a aussi en nous, pour peu qu’on veuille bien le regarder. Les personnes avec qui on interagit sont nos miroirs, et ce que l’on juge chez l’autre se rapporte en général à des aspects de notre personnalité que l’on n’a pas encore véritablement acc

La pensée humaine est produite selon deux systèmes9 : – le « système 1 », qui est notre pensée automatique ; celui qui s’active quand on me demande mon prénom ou de multiplier 2 par 2, et qui me pousse à formuler, sans même que je le décide, la réponse dans ma tête ; celui qui me parle quand je décide de pratiquer la méditation et que je continue à